Mallory Rowle ◊ A shadow in the dark [Terminée]

QUE PENSE TON PERSONNAGE DES STATUTS DE SANG △
Baigné dans la certitude que les familles ne s’étant jamais mélangées à des moldus sont supérieures aux autres, l’écho d’la voix d’son père dans sa tête lui répétant lui rappelant leur infériorité, il aurait pu développer une haine totale des sorciers nés d’moldus ou des sangs-mêlés et pourtant ce ne fut pas tout à fait l’cas. Il ne se mélangea jamais réellement à eux préférant la compagnie des rares enfants d’sang-pur et restant persuadé de la supériorité qu’on lui avait assuré avoir par rapport aux autres.

Il est prêt à cependant suivre les idéaux familiaux car il sait que c’est ce que l’on attend de lui, il suivra la route qui est sienne, celle que son père lui trace lentement dans la direction d’un homme prêchant leur valeur supérieure. Prônant l’anéantissement des mélanges et la fin du secret des sorciers, ne devant plus s’cacher des moldus.


QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ASSASSINAT DE LA FAMILLE WHITE △ Le père White était un collègue du père d’Mallory alors il enfila sur son visage son meilleur masque, le plus convaincant et à la fois l’plus faux, celui de la compassion, se rendant même aux funérailles. Le jeune homme n’avait cependant pas d’doute concernant l’implication de son père, il n’était pas innocent. Mallory n’ressentait rien de particulier concernant la disparition entière d’une famille de sang-mêlé, mais après tout il se moquait du monde entier ne se concernant que de l’existence des gens appartenant à son groupe.

Il avait observé d'un œil amusé son père prétendre éprouver d'la peine, s’offenser de la cruauté de ces meutes et promettre que justice serait faite tout en s'en rinçant les mains. Ils n'avaient que ce qu'ils avaient cherché à se penser supérieur à la place qui était la leur.

TON ÂGE : 27 ans PAYS : Belgique COMMENT AS-TU CONNU LE FOFO ? PRD DES SUGGESTIONS ? / UN DERNIER MOT ? Hé, salut      

La nuit était sombre, semblable à un encrier que l’on aurait renversé, elle était parsemée de ses petits flocons tombant tout en douceur sur le sol formant une petite couche blanche au sol, la neige ; synonyme de panique dans le monde moldu et de joie pour tous les enfants, promesse de batailles et de bonshommes de neige. On s’emmitouflerait jusqu’aux oreilles et profiterait du feu d’cheminée pour se réchauffée l’soir après une belle journée.

Des cris dans la nuit, ceux d’une femme, épuisée elle arrive presque au bout de ses peines, un second cri vint s’mélanger au sien, celui d’un petit garçon. Son mari quant à lui attendait respectueusement à l’extérieure de la salle d’accouchement ne souhaitant pas s’mêler de ces choses-là. Père et mère réunit au-dessus du petit Mallory, se frottant déjà les yeux d’fatigue, mère soulagée et père arguant un air fier, son premier fils venait d’naître. Les années leur apportèrent par la suite deux filles et un autre fils mais rien ne s’rait pareil à la naissance de l’héritier de la famille Rowle posant sur les épaules du bambin un grand nombre d’attentes dont il ignorait encore l’ampleur.

Dès son plus jeune âge, le garçonnet fut entouré, surveillé, protégé, veillant à son éducation en prévision de l’avenir qu’on lui voulait. Précepteurs, tuteurs se suivaient et s’ressemblaient. Son éducation était au centre des intérêts du patriarche, il serait celui qui un jour porterait le nom Rowle et tout ce que cela pouvait déjà impliquer. Si la communauté magique en générale n’accordait que très peu d’importance à la pureté du sang, ce n’était pas l’cas des Rowle qui choisissaient des mariages de pureté, officieusement arrangés et auxquels ils se soumettaient afin de poursuivre leur lignée, persuadé que les sorciers se mélangeant n’étaient que des dangers pour leur société actuelle.

Grandissant, le garçonnet apprit à craindre les humeurs de son père, se pliant à sa volonté pour éviter d’être sanctionné, puni une fois d’plus. Sa mère laissant l’intégralité de son éducation entre les mains de son père, il n’hésitait pas à se montrer rude envers l’enfant pour qu’il se soumette à ses attentes toujours plus élevées. Passant tout son temps libre enfermé dans la bibliothèque familiale et lorsqu’il n’était pas à la hauteur, il se retrouvait enfermé dans le grenier du manoir. Les punitions physiques étaient quant à elles plus rares, il n’aimait pas se salir les mains et préférait l’isolement à la violence.

Sa mère restait à l’écart, ne s’mêlant pas d’ses choses-là, elle s’occupait de ses autres enfants et laissant son mari façonner l’aîné. Ce n’était pas qu’elle n’aimait pas son aîné mais elle craignait elle aussi les accès de colère de son mari, tel un orage il éclatait, foudroyait, terrorisait. Mallory ne reçut aucune forme d’affection des personnes qui lui était pourtant les plus proches, regardant en retrait ses frères et sœurs, les jalousant, ne comprenant pas pourquoi son destin à lui était différent.

L’entée à Poudlard fut pour le jeune garçon une délivrance. Pour une fois dans sa vie il ne sentirait pas les yeux d’son père lui brûler la nuque et n’aurait pas à enduré une nuit de plus dans le grenier à regarder les araignées tisser leur toile au plafond, elles étaient fascinantes avec leurs longues pattes et se déplaçaient sans aucun bruit. Sans grande surprise il fut envoyé à Serpentard et put commencer sa scolarité avec d’autres enfants dont les parents partageaient les idées similaires à celles de son père.

Possédant une avance certaine sur ses camarades – passant ses étés à étudier sous le regard d’un précepteur – mais ayant vécu sous l’courroux d’un père colérique, il éprouvait l’irrépressible envie de relâcher la pression qu’il avait enduré durant son enfance et les étés qu’il passait au manoir familiale. Plus question de se noyer dans les livres, il était temps pour lui de découvrir les joies du début d’son adolescence.

D’abord les amis, s’entourer des bonnes personnes, de personnes de confiance, créant sans l’savoir les prémices des liens sociaux qu’il entretiendrait pour le restant de sa vie. Des compères, des amis. Il n’avait jamais été en contact avec des gens de son âge mais il se révéla être un excellent orateur, séducteur des foules. Lorsqu’il parlait, on l’écoutait et on lui obéissait, il appréciait ce sentiment d’pouvoir ne réalisant pas encore à quel point il lui serait un jour utile. Mallory se sentait enfin comme un poisson dans l’eau, bien qu’incapable de comprendre les émotions des autres voire les siennes, il excellait à les imiter, à prétendre les ressentir. La colère était celle qui l’accompagnait, le comprenait, ne l’jugeait jamais.

Il était temps de découvrir les joies de l’adolescence et tout ce que cela pouvait lui apporter. Enchaînant les relations d’un soir sans jamais s’attacher, incapable d’aimer, incapable de s’aimer lui-même. Comment aurait-il pu offrir son cœur à quelqu’un alors que dans sa poitrine seul l’écho d’un cœur bouffé par ses démos résonnait. Séducteur, amant, mais jamais il ne s’attachait, jamais il ne restait.

Inlassablement, les étés n’avaient de cesse de revenir, sonnant le glas de sa souffrance, courbant l’échine, baissant la tête, il redevenait l’enfant apeuré par l’orage. A quinze ans, son père s’était mis en tête de faire de son fils un animagus, souhaitant prouver la supériorité des sangs-purs, poussant toujours plus loin l’adolescent qui a bout d’force finissait irrémédiablement couché au sol, inconscient.

Ce ne fut qu’à l’été de ses dix-sept ans qu’il fut enfin capable de maitriser sa transformation mais toujours dans la douleur des souvenirs de son apprentissage avec son père. Cet été-là fut lui l’un des plus éprouvant. Entraîné dès les lueurs de l’aube jusqu’à tard dans la nuit. Il n’avait plus la force ni le courage et encore moins l’envie, commençant à haïr ce père, perpétuel insatisfait et punitif. Il en venait à découvrir la définition réelle de la haine et bien qu’il comprenne et respecte ses origines, il n’arrivait pas à comprendre le réel intérêt de tout ça. Mallory ignorait que son père s’était rapproché d’une lointaine connaissance, rejoignant ses rangs, partageant ses idées et souhaitant les transmettre à son fils, dans l’ombre ils se terraient attendant leur heure.

« Un jour, tu seras à la tête de cette famille. Tu devras poursuivre ma route, il n’est pas question que notre nom devienne synonyme de honte par ta faute. »

Ces mots, il ne les oublia jamais.

Sa peau brûlait, chaque centimètre carré de sn corps le faisait souffrir. Il s’endormait chaque soir, incapable de se déshabiller ou de défaire son lit, une masse inerte tous les soirs. Il arborait un teint fantomatique et avait un élevage de cernes rien qu’à lui. Sa carcasse était douloureuse, n’ayant plus la force d’échanger avec ses sœurs et son frère, il les regardait de loin avec envie, nourrissant une colère infinie à leur égard de ne pas avoir le droit à la même insouciance.

Sa dernière année à Poudlard, il était bien décidé à en découvre avec la vie. La haine et la colère l’animait, les seules émotions qu’il comprenait l’entrainaient dans une spirale sans fin. Brûler la vie par les deux bouts, s’amuser une dernière fois, se découvrir tout entier dans les bras d’un ou d’une autre, rien n’avait d’importance. Séduire, manipuler, se réveiller dans le lit d’un ou d’une inconnue, il n’aspirait qu’à effacer l’espace d’une nuit la douleur qui sommeillait encore dans chaque centimètre de sa peau.

Mallory continuait son petit train d’vie à Poudlard entouré de ses amis fidèles, il portait sur son visage le masque de la froideur et du mépris pour quiconque ne faisant pas partie de son groupe. Se moquant éperdument d’heurter les sentiments d’autrui, rares étaient ceux qui comptaient réellement pour lui.

A ses côtés, sa meilleure amie de toujours, à deux ils pourraient tout accomplir, traversant les années, ne devant se justifier de rien l’un envers l’autre et entretenant une attirance magnétique contre laquelle il luttait valorisant bien trop leur amitié à une histoire d’un soir. Mallory savait que si quelqu’un s’en prenait un jour à celle qui ne le jugeait jamais il serait le premier à dégainer sa baguette pour l’envoyer manger la terre. Rien ni personne ne se mettrait jamais en travers leur amitié.

Ses relations avec le reste de sa fratrie étaient cordiales, la seule qui comptait réellement à ses yeux étant sa petite sœur. Fragile et impressionnable elle portait en elle l’innocence, subissant elle aussi sa famille de par ses différences avec le reste du monde. Mallory savait pertinemment qu’un jour sa famille choisirait une autre famille afin de créer un rapprochement en utilisant l’mariage et évidemment l’aîné des Rowle – lui. Il s’était fait à l’idée de n’appartenir qu’à sa famille et qu’à son nom, ne le vivant pas pour autant extrêmement bien.

A la fin d’ses études à Poudlard, il entra à l’université choisissant l’cursus de Justice et droit magique après tout son père travaillait au ministère de la magie et il attendait d’son fils d’en faire autant bien que celui-ci soit passionné par bien d’autres choses. En deuxième année, il s’était enfin un peu éloigné de sa famille tentant de garder une certaine distance et attendant qu’on lui désigne celle à qui il serait lié pour l’meilleur et probablement l’pire.

Voilà, la crise d’épilepsie à cause du gif, c'est cadeau, c'est la maison qui offre En tout cas, bravo pour ta validation Tu es des nôtres, jeune padawan-sorcier ! Tu gagnes un câlin et une chocogrenouille


Pour commencer, tu peux aller vérifier dans le bottin des avatars qu'on a bien pensé à ajouter le tiens, si jamais c'est le cas, n'hésite pas à le signaler qu'on puisse régler ça au plus vite . Ensuite, les listings, si tu veux vivre dans un petit nid douillet il faut passer par le registre des habitations, mais pour payer son loyer faut des ptits sous et pour ça, tu peux passer par le registre des métiers et si tu as un capacitée spéciale, il faut passer par registre des capacités spéciales. Pour finir, si tu es un petit choupi élève à Poudlard, tu peux recenser ton rôle ou ton club


Ensuite, si tu veux chercher des liens, c'est ici que ça se passe, faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration. Tu peux aussi faire ajouter ton personnage au listing des personnages quand tu auras un peu de temps Et puis, si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Tu peux également faire un scénario ou des pré-liens par là en respectant le modèle et les règles, ça va sans dire.

Ton personnage étant un/e sang pur anglais/e, il est important que tu passes dans ce sous fofo pour créer sa famille et aider les futurs nouveaux membres à avoir une famille s'ils veulent jouer un SP aussi. Voici le lien du model de fiche des scénars. Une fois ta famille terminée, il faudra la recenser dans ce sujet. Merci de ta compréhension (évidemment, si la famille de ton personnage est déjà faite, ce n'est pas la peine de créer un sujet )


Le plus intéressant pour la fin, tu peux également venir jouer avec nous en faisant un tour juste ici ou participer à la coupe des quatre maisons ! N'hésite pas non plus à poster dans la fiche bazzart/prd, un petit mot, ça fait toujours plaisir.


Et parce que la vraie fin est là, sache qu'on t'aime déjà très fort et que si tu as le moindre souci ou la moindre demande, le staff se tient à ta disposition (on offre même le café, on est comme ça nous, what else ) Sur ce, de gros bisous et à bientôt en jeu